France Beaudoin a reçu François Létourneau sur le plateau de Pour emporter.

Découvrez la définition que son ami Patrice Robitaille a composé pour lui ainsi que le dessin réalisé par Pierre Brassard.

Définition de François Létourneau par Patrice Robitaille :

Fils d’une mère psychanalyste et d’un père curé qui, par amour un jour, décida de défroquer, François grandit à Ste-Foy, à l’instar des personnages d’une populaire émission de télé.

 

Il est du type ordonné qui aime évoluer dans un environnement contrôlé; si un bibelot bouge chez lui, son œil de lynx (ou son œil du tigre, c’est selon) le remarquera.

 

Il est très près de sa grand-mère centenaire Cécile de qui il prend un soin jaloux.

 

Depuis toujours d’ailleurs, les vieilles dames fascinent et touchent François.

 

Ado, il est un grand fan de la série The Golden Girls qui suit le destin de trois veuves et d’une autre, nouvellement divorcée, partageant un appartement à Miami.

 

Peu sportif donc, vous l’aurez deviné, le jeune Létourneau est néanmoins un grand médaillé académique; il collectionne les médailles du gouverneur général, les bourses et les reconnaissances.

 

À cet effet, je ne serais pas surpris que l’on salue un jour, l'œuvre immense qu’il est à continuer de créer et qui perdurera dans l’imaginaire collectif.

 

Grand intellectuel qui aime aussi faire des blagues de pets et de crottes, il est fasciné par les États-Unis et plus spécifiquement, par la politique américaine.

 

D’ailleurs, un peu comme Kennedy, réputé pour sa lecture rapide, il survole les livres sans en voir la fin, parfois.

 

Toujours posé, il aime relativiser les choses et mesurer les enjeux, tel un juge à la Cour suprême.

 

Certes son intelligence est reconnue; mais il y a plus.

 

Travailleur acharné, doté d’une discipline hors norme, il est à la limite de l’obsession par rapport à son travail.

 

Il n’est pas rare d’ailleurs que François cesse de vous écouter au beau milieu d’une conversation parce qu’il vient d’avoir une idée...ou tout simplement parce qu’il trouve ça plate.

 

À ce propos, je ne serais pas surpris qu’il ait cessé d’écouter la lecture de ce court texte dans le bout des Golden girls.

 

Change surtout pas mon ami, c’est comme ça que je t’aime.

Dessin de Pierre Brassard pour François Létourneau.

Regardez un extrait de l'émission :

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