Léandre Jacquemin, l'ancêtre de la famille, a 85 ans. Encore vert et solide malgré son grand âge, le père Jacquemin est assez lucide pour savoir qu'il n'est pas éternel et qu'un beau jour, il lui faudra bien céder la ferme et ses dépendances à son fils aîné ou, à défaut, à l'un ou l'autre de ses enfants. Mais il ne se décide jamais à faire le geste légal officiel, à signer devant notaire un papier qui instituerait son héritier, légataire universel de tous ses biens.
L'aîné des fils Jacquemin, Antoine, 60 ans, et son frère Jonas, 51 ans, se demandent pourquoi leur père remet indéfiniment le jour du règlement de la succession. Ce que les fils ignorent, c'est que leur père n'a jamais été propriétaire en titre de la ferme, des bâtiments et des terres qui font l'orgueil de la famille. Pour une raison indéterminée, par négligence ou parce que dans le temps, on se fiait au sens de l'honneur des paysans, Léandre n'a jamais légaliser ses possessions.
Par ailleurs, Antoine commence lui aussi à subir les premiers symptômes du vieillissement. Il voudrait bien que la situation soit légalisée avant que la mort ne frappe à la ferme. Nous verrons comment, avec quelle fermeté et quel coeur, on règle les conflits de famille et de paroisse chez les Jacquemin.
Léandre Jacquemin, l'ancêtre de la famille, a 85 ans. Encore vert et solide malgré son grand âge, le père Jacquemin est assez lucide pour savoir qu'il n'est pas éternel et qu'un beau jour, il lui faudra bien céder la ferme et ses dépendances à son fils aîné ou, à défaut, à l'un ou l'autre de ses enfants. Mais il ne se décide jamais à faire le geste légal officiel, à signer devant notaire un papier qui instituerait son héritier, légataire universel de tous ses biens.
L'aîné des fils Jacquemin, Antoine, 60 ans, et son frère Jonas, 51 ans, se demandent pourquoi leur père remet indéfiniment le jour du règlement de la succession. Ce que les fils ignorent, c'est que leur père n'a jamais été propriétaire en titre de la ferme, des bâtiments et des terres qui font l'orgueil de la famille. Pour une raison indéterminée, par négligence ou parce que dans le temps, on se fiait au sens de l'honneur des paysans, Léandre n'a jamais légaliser ses possessions.
Par ailleurs, Antoine commence lui aussi à subir les premiers symptômes du vieillissement. Il voudrait bien que la situation soit légalisée avant que la mort ne frappe à la ferme. Nous verrons comment, avec quelle fermeté et quel coeur, on règle les conflits de famille et de paroisse chez les Jacquemin.
Léandre Jacquemin, l'ancêtre de la famille, a 85 ans. Encore vert et solide malgré son grand âge, le père Jacquemin est assez lucide pour savoir qu'il n'est pas éternel et qu'un beau jour, il lui faudra bien céder la ferme et ses dépendances à son fils aîné ou, à défaut, à l'un ou l'autre de ses enfants. Mais il ne se décide jamais à faire le geste légal officiel, à signer devant notaire un papier qui instituerait son héritier, légataire universel de tous ses biens.
L'aîné des fils Jacquemin, Antoine, 60 ans, et son frère Jonas, 51 ans, se demandent pourquoi leur père remet indéfiniment le jour du règlement de la succession. Ce que les fils ignorent, c'est que leur père n'a jamais été propriétaire en titre de la ferme, des bâtiments et des terres qui font l'orgueil de la famille. Pour une raison indéterminée, par négligence ou parce que dans le temps, on se fiait au sens de l'honneur des paysans, Léandre n'a jamais légaliser ses possessions.
Par ailleurs, Antoine commence lui aussi à subir les premiers symptômes du vieillissement. Il voudrait bien que la situation soit légalisée avant que la mort ne frappe à la ferme. Nous verrons comment, avec quelle fermeté et quel coeur, on règle les conflits de famille et de paroisse chez les Jacquemin.